Renforcement des capacités des Agents de changement de BENI

Profitant du lancement officiel de la campagne NOUS POUVONS mettre fin aux violences faites aux femmes en ville de BENI à l’Est de la République Démocratique du Congo, le Point focal de l’Alliance du Nord Kivu Delphine ITONGWA a procédé au renforcement des capacités des agents de changement afin qu’ils accomplissent bien leur mission d’amener les habitants de cette ville au changement de comportement et attitudes qui violentent les femmes.
Une séance capitale pour expliciter toutes les notions relatives à l’approche NOUS POUVONS. L’artiste musicien Mackelsambo agent de changement venu de Goma de renchérir : « notre message reste le même partout au pays : lutte contre cette acceptation sociale des violences à l’égard des femmes et jeunes filles. Nous voulons vivre la paix au sein de nos familles et l’épanouissement de la femme ».
Disons qu’avant cette séance, le Maire de BENI BWANAKAWA MASUMBUKO NYONYI a eu un entretien fructueux à son cabinet avec la délégation de NOUS POUVONS conduite par Delphine Itongwa. Monsieur le maire a aimé la venue de la campagne dans sa juridiction qui, selon lui, elle va contribuer au rétablissement de la paix et  au respect de la personne de la femme à BENI.
 
Bwanakawa Masumbuko Nyonyi veut qu’il y ait toujours l’échange d’expérience entre les premiers agents de changement et les nouveaux engagés dans cette lutte, aussi, en travaillant en synergie avec des organisations féminines de la place qui feront le tremplin pour une bonne implantation de NOUS POUVONS en ville de BENI.
 Monsieur le Maire a insisté sur les contenus des émissions radios et télévisées qui doivent être bien préparées évitant toute confusion avec d’autres programmes qui parlent que de la violence sexuelle. Au nom de la campagne, Delphine Itongwa a rassuré l’autorité urbaine que le service du plan média et communication en province aura à se charger pour ces émissions et renforcement des capacités des communicateurs sociaux de BENI.
Assis face à face, les jeunes gens en majorité actifs dans la campagne dans cette ville ont trouvé que ce renforcement des capacités leur a permis de bien cerner la campagne et ses objectifs comme nous a déclaré DALZON au sortir de cette séance.

Signalons qu’une dizaine d’agents de changement de l’Alliance locale de BUTEMBO ont pris part ainsi que d’autres venus de GOMA.

Et bien, d’une étape à l’autre au sein de NOUS POUVONS, les agents de changement profitent d’une nouvelle notion et stratégie de sensibilisation interpersonnelle. Engagez-vous comme MOI.

CAMPAGNE NOUS POUVONS NORD KIVU: Martin COBLER et NOUS POUVONS

CAMPAGNE NOUS POUVONS NORD KIVU: Martin COBLER et NOUS POUVONS

merci madame de votre point de vue

Martin COBLER et NOUS POUVONS

Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en République Démocratique du Congo Martin Cobler est venu écouter NOUS POUVONS pour s’imprégner du message que donne ce mouvement social aux festivaliers. Profitant de son passage au festival « Amani » de Goma le samedi 15 février dernier, Martin Cobler a été accueilli au stand par Delphine Itongwa la responsable de NOUS POUVONS au Nord Kivu.

Il lui a été expliqué l’objectif ainsi que les activités que réalise la campagne pour la restauration de la paix en famille et la  justice sociale en République Démocratique du Congo. « Notre travail consiste à amener nos concitoyens à dire non aux injures à l’endroit de la femme, aux coups et blessures, l’humiliation de la femme, nous interdisons la pratique des points sexuellement transmissible, la polygamie, le refus à la fille sa part d’héritage,  la discrimination de la femme ; nous soutenons l’autonomisation économique de la femme de même nous encourageons les jeunes filles et mamans à briser le silence en dénonçant les violences qu’elles subissent... Ce que vous voyez exposer ici, c’est l’échantillon de l’œuvre des Agents de changement qui facilite la dissémination de ce message dans nos communautés» tels sont les propos de la responsable de l’Alliance du Nord Kivu au Chef de la MONUSCO, débout dans le stand.

Delphine Itongwa a parlé sans jambage que cette campagne est actuellement dans cinq provinces au pays. « Nous avons de milliers de personnes qui soutiennent le message de NOUS POUVONS que nous appelons Agents de Changement. Des personnes physiques et morales qui sont à Kinshasa, dans le Bandundu, au Maniema, au Sud Kivu et ici au Nord Kivu. Nous sensibilisons chaque individu afin que nous vivions la paix dans nos familles et dans nos lieux de service en bannissant les violences venant de toute part. »
Après cette explication, le Chef de la Mission des nations unies au Congo (MONUSCO) a voulu savoir l’importance des insignes, des affiches étalées et matériels portant le logo de NOUS POUVONS. Delphine lui a dit, je cite : dans notre stratégie de communication nous utilisons tous ces matériels pour faire passer le message. Nous soutenons nos arguments par l’illustration en images des violences à travers ces affiches et nous les  distribuons gratuitement mais après une sensibilisation.
Au sein de NOUS POUVONS, les différentes sortes de violences sont documentées et certaines sont traduites en images sur des affiches qui facilitent les agents de changement à bien sensibiliser. Sur la table d’exposition, des dépliants qui parlent sur les principes de NOUS POUVONS, des stylos avec logo NOUS POUVONS. Parmi ceux que Martin Cobler a eus de la campagne, Delphine Itongwa lui a remis à main propre un stylo de NOUS POUVONS.Et M. Cobler l’a utilisé en écrivant ses commentaires sur la campagne dans le livre d’Or de l’Alliance du Nord Kivu.
Toute une suite derrière le Représentant du secrétaire général des nations unies au Congo qui a prêté une oreille attentive à l’exposé de la responsable de NOUS POUVONS au Nord Kivu. Le Chef de la MONUSCO a déclare : « j’encourage cette initiative, c’est construire aussi la paix. Merci ». Ce Diplomate onusien nous a amené plus de 27 personnes au stand d’un coup pour écouter le message de NOUS POUVONS, chose que la campagne remercie tout cœur.

Goma sous le Festival amani

Les colons belges sont venus au chef-lieu de la Province du Nord Kivu pour un festival dédié à la paix à l’Est de la République Démocratique du Congo. Un festival culturel, de la musique, l’acrobatie, griot, à manger, à boire, exposition, sensibilisation en guise de soutenir les efforts de la paix au sein de nos communautés burundaises congolaises et rwandaises.

 L’organisateur de ce festival a donné gratuitement des stands à tout celui qui voulait la visibilité de ses actions qui concourent à la paix. Villages des humanitaires, des artistes, des vendeurs ont été embellis par des articles et matériels de visibilité attrayants.
La campagne NOUS POUVONS mettre fin à toutes formes de violences faites aux femmes est au rendez-vous. 
Un stand bien aménagé, installé au village des humanitaires. Des festivaliers visitent le stand de NOUS POUVONS. Des calicots, dépliants, affiches, foulards, stylos, drapelets tous ces matériels sont exposés à la différence d’autres car ils portent un logo NOUS POUVONS. Ces objets ont attiré l’attention et la curiosité des visiteurs. Palper, lire... Ils ont voulu savoir qu’y a-t-il de neuf.
 « Nous sommes bien préparés pour parler de la Campagne qui apporte déjà l’harmonie dans plusieurs familles dans notre pays partant du Nord Kivu. Aussi, nous sensibilisons les festivaliers à comprendre que vivre sans violences faites aux femmes dans notre société, c’est vivre en paix… » Voilà comment nous explique Delphine Itongwa, débout dans ce stand. Elle a ajouté : Plus qu’un atelier d’information sur la campagne. Il faut explique et réexpliquer à chaque groupe des festivaliers qui arrivent au stand le bien fondé de  NOUS POUVONS dans la restauration de la paix sociale.

Répondre aux diverses questions et d’ailleurs qui créaient un débat intéressant sur le vécu de la jeune fille et du garçon en famille, la vie des femmes qui travaillent dans des organisations ainsi que la place de la femme dans la communauté congolaise.
Les fiches d’engagement au sein de la campagne ont été expliquées et remplies par bon nombre de personnes qui ont compris que le bonheur en famille passe par le respect de droits de chaque individu sans voir son sexe d’appartenance.
Les festivaliers qui ont signé ces fiches d'engagement au sein de la campagne  nous ont déclaré : « nous nous engageons pour une cause noble, la lutte contre les violences faites aux femmes. Mais à quand notre cérémonie de prestation de serment pour sceller notre engagement comment Agents de changement ? »

Delphine Itongwa responsable de NOUS POUVONS au Nord Kivu a apprécié cette position de ceux qui se sont engagés et promet que l’Alliance du Nord Kivu tient à organiser la prestation de serment publique d’ici là. Toutefois, il leur a été appelé de sensibiliser chacun plus de dix personnes au changement de comportements et attitudes qui violentent la femme pour qu’ensemble nous agissons au sein de ce mouvement social au profit du bonheur et la paix de tous.

KIBUMBA après le M23

La vie reprend petit à petit dans ce village situé dans le parc Nationale des Virunga à plus de 30 km au nord de Goma après le départ du groupe rebelle M23. Retour des habitants, activité champêtre et commerciale sont à constatées.
A cette reprise des activités, l’Alliance du Nord Kivu a dépêché Mr Mackelsambo accompagné de Mr Etienne Kambale pour parler aux habitants du message de NOUS POUVONS, aussi, faire appel aux anciens agents de changement de KIBUMBA à la sensibilisation pour lutter contre les violences faites aux femmes dans cette partie du territoire de NYIRAGONGO déjà touchée par plusieurs séances d’information sur la campagne.

Séance de Kibumba: Etienne KAMBALE en châpeau

Ce dialogue interactif a été un moment favorable pour bon nombre d’enseignants, leaders d’opinions, de jeunes, de femmes ainsi que des hommes a échangé sur le vécu de la femme et jeune fille congolaises après ce retour des camps des déplacés où ils ont passé plus d’une année en souffrance à cause de la guerre du M23.
Entrée en contact avec les participants, Mackelsambo a amené son auditoire à parler sur les violences domestiques. Ces derniers ont cité des réalités à KIBUMBA. Par exemple, certains maris n’acceptent pas de faire soigner leurs épouses, des injures entre mamans et papas dans plusieurs foyers, la majorité des filles de KIBUMBA ne sont pas scolarisées avec comme motif la pauvreté et pourtant des garçons partent à l’école. Il a été dit clairement que lors de la tenue du conseil des familles dans ce village, les filles et les femmes n’ont pas droit de s’exprimer sauf si elles présentent des arguments pour sa défense une fois accusée. Au décès du papa, privation de l’héritage aux mamans et leurs filles. Dans ce village, la gestion des ressources des familles est entre les mains des hommes, de cas des rapports sexuels forcés à certaines femmes mariées y ajouté la polygamie.
 Sous la facilitation de Etienne Kambale, les participants se sont formulés les voies de sortie pour endiguer ces violences à l’endroit des femmes. Ils ont décidé d’agir par la dénonciation de cas de violation des droits des femmes et abolition des mauvaises coutumes, promouvoir le dialogue dans les familles, promouvoir l’échange des idées en cercle familial, de même la sensibilisation sur les droits des filles et des femmes.

Les hommes et les femmes: Alliance de Kibumba Nord Kivu

En somme, 41 personnes se sont converties en agents de changement dont 26 Hommes ou garçons et 15 femmes ou filles. Et neuf personnes ont  renouvelé leurs engagements pour la continuité de ce message dans leur milieu de vie KIBUMBA.

Sud Kivu : priorité la dignité de la femme Congolaise

Des avancées au Sud Kivu où l’Alliance provinciale a renforcé les capacités des alliances locales nouvellement créées au sein des instituions universitaires.  Actuellement des messages radiodiffusés parviennent à de milliers d’habitants de cette province de l'Est de la République Démocratique du Congo qui les appellent  au non violence aux femmes.
Au jour d’aujourd’hui, on peut dénombrer 9 198 agents de changement enregistrés. 20 240 personnes touchées par le message de la campagne NOUS POUVONS en ville de Bukavu, Uvira et dans d'autres territoires comme MWENGA aussi 24 nouvelles alliances se sont ajoutées aux anciennes installées depuis 2007.
Soutien de cette action
Il y a à féliciter la démarche des agents de changement au Sud Kivu. On note l’importance de travailler avec l’Alliance de NOUS POUVONS du Burundi via l’Alliance locale d’Uvira, car le Gouvernement du Burundi a récupéré ce message de la Campagne en politique  de paix dans ce pays voisin du Congo-Kinshasa. Un autre soutien indéfectible, l’engagement du Gouverneur du Sud Kivu Mr Marcelin CHISHAMBO comme agent de changement
Un rappel important. Il est facile de se connecter à la campagne car des personnes morales et physiques que nous appelons Agents de changement ont accepté de parler sans crainte que les violences faites aux femmes sont non acceptables dans notre société. Voilà pourquoi l’action NOUS POUVONS est une opportunité pour que la société vive en paix.

Mr Thiery et Mr Mambo Modeste Alliance du Sud Kivu

Disons que cette dynamique NOUS POUVONS de la République Démocratique du Congo a fait échos lors la 57è session des Nations Unies à New York. La Coordonnatrice de NOUS POUVONS dans ce pays Jeannine Gabrielle NGUNGU a eu à parler de ce qui se fait pour le respect de la justice genre dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Pour elle, ce mouvement social dans ce pays soutient la tenue de « forum des hommes et des agents de changements connecteurs » pour la pérennisation du message de lutte contre ces violences à l’endroit des femmes et jeunes filles.  Dans ce forum des hommes par exemple au Nord Kivu, Ce ne sont que des « hommes » du sexe masculin qui prennent leur temps la journée pour échanger et trouver des voies de solution autour des injustices que subissent les femmes dans leur milieu de vie. Une première dans l'approche de lutte contre les violences à l'égard des femmes en République Démocratique du Congo !

Mme Jeanine NGUNGU Coord NOUS POUVONS RDC

Tout le monde est concerné de près ou de loin car si ce n’est pas ton épouse qui est violentée, ça peut être ta sœur dans son foyer soit à son lieu de travail, en milieu des jeunes voire votre mère ou belle-mère. Avec ce « forum des hommes », la stratégie NOUS POUVONS encourage les hommes dans la lutte et aux femmes à brise le silence autour des violences qu’elles subissent. C'est pourquoi Ensemble Nous pouvons mettre fin aux violences faites aux femmes. Engagez-vous comme moi Agent de changement.

Armée congolaise, section des agents de changement

Une sensibilisation sur le non violence aux femmes au profit des militaires congolais basés à Bweremana (en territoire de MASISI dans la province du Nord Kivu). Mission accomplie par Mme Delphine ITONGWA Point focal de NOUS POUVONS au Nord Kivu Est de la République Démocratique du Congo. Des hommes militaires s’intéressent aux problèmes de leurs épouses et femmes militaires au sein de l'armée nationale.

Femmes congolaises commando Ph. Freddy Kin.

« Nous avons quitté Goma sans problème, en route vers Bweremana pour un dialogue interactif sur la lutte contre les violences faites aux femmes. Mais, à une dizaine de Kilomètres du lieu de rendez-vous, nous sommes bloqués au village NYAMUBINGWA suite au soulèvement des combattants NYATURA (une bande armée comme maï maï)  en cantonnement dans cette agglomération qui ont barricadé la route réclamant leurs soldes. Nous risquons d’être en retard… » Nous explique Mme Delphine. Elle poursuit en disant : heureusement, les FARDC (les militaires loyalistes) ont vite remis de l’ordre et nous continuons notre voyage dans cette partie du Territoire de MASISI.
Arrivée à Bweremana, le dialogue interactif commence. Et dans la salle un signe des militaires qui suivaient à l’extérieur l’expose. Sur un papier il est écrit : « Nous voulons comprendre les violences faites aux femmes car nous militaires, nous aimons bien nos épouses. Nous vous attendons ici à l’extérieur… »  La réponse n’a pas tardé; « bien, nous allons en parler. »
Après cette première séance, les militaires qui ont sollicité la sensibilisation se sont installés dans la salle. Et à Delphine Itongwa d’expliquer c’est quoi NOUS POUVONS, son objectif suivi qui est l’harmonie, la paix sociale et le bonheur en famille. Débat et jeu de question-réponse sur le vécu de l’épouse militaire dans le camp militaire. Bon nombre des militaires présents à cette occasion se sont exprimés clairement sur les violences aux épouses des militaires ainsi qu’aux femmes  militaires. Ils ont compris la pertinence de mettre fin aux violences à l’endroit des femmes et ils ont promis d’en parler à leurs collègues d’armes pour que la sensibilisation se passe entre militaires et dans leur campement.
Ces militaires congolais ainsi conscientisés, ont signé les fiches d’engagement au sein de la campagne. Et pour concrétiser leur décision de devenir agents de changement au sein de l’armée congolaise et d’amener leurs collègues à lutter contre les violences faites aux femmes et jeunes filles ; ils ont déclaré : « Nous sommes prêts à prêter serment dans NOUS POUVONS dès que cela sera organisé à notre portée. Notre souhait est de vous voir revenir ici à Bweremana pour d’autres séances de sensibilisation. »
Delphine Itongwa WAKILUME ne nous a pas caché sa satisfaction. A bateau rompu, elle a parlé : "ça me fait du plaisir de voir de plus en plus les hommes qui s’intéressent et se mettent à côté des femmes pour éradiquer les violences au sein de nos ménages. Et ces militaires sont une lumière au sein de leur compagnie pour le changement et de protéger la personne de la femme militaire, la dignité des épouses des militaires ainsi que de leurs filles dans leurs campements".

Kinshasa, vivre sans violences en famille

Le bonheur en famille se manifeste aussi à travers le dialogue, le respect mutuel entre papa et maman ainsi qu’entre frères et sœurs. Tel est le résumé d’une grande sensibilisation des agents de changement auprès de Kinois et Kinoises (habitants de Kinshasa). L’Alliance de cette ville province en République Démocratique du Congo veulent redorer l’image de nos familles congolaises ternie par des violences faites aux femmes, d’ailleurs, NOUS POUVONS n’accepte pas toute forme des violences que ça soit chez les hommes ou faite aux femmes et jeunes filles. Plusieurs séances de sensibilisation ont été réalisées dans ce sens dans différentes commune de Kinshasa avec ultime objectif, « faire de nos familles un lieu d’épanouissement de la femme et que règne l’harmonie pour le bien-être de chaque membre de sa famille. »

Agents de changement de Kinshasa en concertation

Les mois passés, l’Alliance de la Capitale congolaise a tenue de séance de conscientisation des professionnels de sexe sur le danger de la pandémie du SIDA. Et surtout leur comportement en société qui frise la dignité de la femme. Dans cette vision, une campagne avec pompe sur la lutte contre le VIH/SIDA s’est déroulée dans des églises, écoles et marchés de Kinshasa  de même le renforcement de capacités des anciens agents de changement.
 A l’actif de NOUS POUVONS seulement pour ces derniers mois, 3 520 personnes ont reçu le message de la campagne. 381 personnes sont devenues Agents de changement et trois (3) nouvelles alliances locales ont été installées surtout dans les écoles musulmanes pour que vive la paix et non les violences à l’endroit des jeunes filles.
Leçons apprises de ces actions de NOUS POUVONS dans la capitale de la république Démocratique du Congo :
Une pro activité des femmes kinoises dans la sensibilisation et mobilisation du grand public. La prise de conscience de la plupart des filles à devenir responsable des clubs des jeunes et de susciter les autres jeunes à suivre le pas des Agents de changement durant cette année 2014 sur toute la ville.