mercredi 29 mai 2013

Des nouveaux agents de changement à Goma

Le jeu concours des génies en herbe était une aubaine pour l’Alliance de Goma afin de conscientiser les jeunes élèves de 12 écoles au chef-lieu de la province du Nord Kivu à l’Est de la République Démocratique du Congo. Unique objectif, à travers cette activité qu’on ait d’autres élèves Agents de changement en vue de mettre fin aux violences à l’endroit des filles et mamans congolaises.
La Campagne NOUS POUVONS a rassemblé ce jour de la finale près d’un millier d’élèves dans l’enceinte de l’Institut NDAHURA qui se sont intéressés au message de ce mouvement social.
L’organisation FPJAD (Fondation Point de vue des Jeunes Africains pour le Développement  s’est engagée pour la réussite de cette rencontre afin de faire passer le message, surtout l’engagement, la prise de décision de jeunes à bannir les actes de violences à l’endroit des leurs sœurs. Avant tout rappelons que ces écoles ont pris part à cette activité, nous citons : L’institut MAMAN YETU, MIKENO NON CONVENTIONNE, l’institut NDAHURA, MIKENO CONVENTIONNE ISLAMIQUE, JERICO, TUPENDANE, RUTOBOKO, TUUNGANE, VIRUNGA QUARTIER,  ZANNER et l’institut Mont Goma.
Comme prévu, deux équipes sont arrivées en finale. L’Institut NDAHURA face à l’Institut Virunga QUARTIER. Toutes les questions ont tourné sur les actions de lutte contre les violences que ça soient domestiques, économiques, psychologique, …  Madame le Point focal de NOUS POUVONS au Nord Kivu Delphine ITONGWA est venue soutenir l’équipe de FPJAD dans cette Finale. Dans la foulée, des agents de changement passaient dans la sensibilisation individuelle des élèves qui assistaient à la finale.

L’acteur principal dans ce jeu de mobilisation sociale Etienne KAMBALE a expliqué à l’assemblée que le mobile de ce jeu concours  n’est pas celui de donner de prix aux gagnants mais de vous susciter au changement des comportements, pratiques qui laissent souffrir la femme. Il a ajouté en demandant aux nouveaux Agents de changement que le fait d’accepter solennellement d’être exemplaire dans la société, l’Alliance de Goma va leur soutenir et les inviter à prendre part chaque qu'il y a une séance de renforcement des capacités des tous les agents de changement pour qu’ils puissent bien sensibiliser les autres membres de leurs communautés. A gauche l'équipe NDAHURA et à droite, VIRUNGA QUARTIER.
 


  "La finale pas facile pour les joueurs surtout que l’Institut NDAHURA joue à domicile, nous a dit un des élèves qui assistait le jeu. L’assistance enthousiaste du déroulement du jeu question-réponse avec probabilité de réplique à une question répondue dans la précipitation.
 
Score très serré entre ces deux équipes, et en fin de compte les élèves de l’Institut VIRUNGA QUARTIER ont remporté la victoire. Madame Delphine ITONGWA les a couronnés et félicités de leur participation surtout leur engagement.
Photo
« Ensemble NOUS pouvons mettre fin aux violences à l’égard des jeunes filles et femmes dans notre milieu de vie ». Bravo aux élèves qui ont pris part à cette activité a déclaré le Point focal de NOUS POUVONS au Nord Kivu Madame DELPHINE ITONGWA en clôturant le jeu concours des génies en herbes.
A la fin une photo de famille n' a pas manqué, les membres de l'a1lliance de Goma, FPJAD et les élèves.
 

 

mardi 28 mai 2013

Comprendre les violences, facile !

Dans ce monde où nous vivons, les violences faites aux femmes peuvent être résumées sous ces trois angles. Violences domestiques, institutionnelles et extrêmes.
Un être humain intelligent et consciencieux est invité à comprendre ces types de violences mais aussi à contribuer à leur éradication dans la société. La campagne NOUS POUVONS vise à ce qu’une personne morale ou physique agisse pour le bien-être de la femme; comme on le dit souvent : « éduquer une femme, c’est éduqué toute la nation ». Comment  une personne sérieusement violentée chaque jour de sa vie peut-elle éduquer la nation? Eh bien, nous sommes appelés à mettre fin à ces violences pour que cette femme soit bénéfique à la nation :
Par violence domestique, il faut retenir toutes les pratiques qui humilient la personne de la femme au quotidien en famille surtout que les autres membres trouvent normales mais déjà des agents de changement réfutent ces pratiques. Ils travaillent jour et nuit dans la sensibilisation pour une conscience nette afin de considérer la femme comme un être à part entière. On peut citer : la surcharge de la jeune fille par les travaux ménagers, la discrimination des filles au profit des garçons, des injures, humiliation parce qu’on est maman ou fille, souvent certains hommes mariés ne demandent pas pardon à leurs femmes épouses en vue de montrer sa supériorité en famille et pourtant ils ont causé du tort à leurs épouses.
Au sein des organisations, la plus part des femmes travailleuses ne sont pas encouragées à participer à la vie de l’entreprise en totalité car elles sont « femme ». Vous, en tant qu’agent de changement vous êtes appelé à contribuer à la bonne conception des mesures qui dirigent la vie de l’entreprise. A dire non au harcèlement sexuel, toujours des jeunes filles des secrétaires ou caissières rares sont des administratrices ou Coordonatrices,… La bonne conscience nous évite à commettre ce que NOUS POUVONS qualifie des violences extrêmes. Coup et blessures volontaires ou pas à l’endroit de la femme, viol, massacre voire enterrement des femmes vivantes,… Même si ces violences faites à la femme sont réprimandées par la loi, nous devons jouer le même rôle de la Campagne qui est de prévenir l’accomplissement de ces actes de violation des droits de l’homme pour une paix et harmonie sociale.
Il faut noter cette différence dans la répression des violences, NOUS POUVONS n’accusera personne d’être « auteur de la violence faite à la femme » NON. Notre rôle n’est pas celui de pointer du doigt las auteurs des actes de violences ou d’ester en justice vu ce forfait mais NOUS musons sur la conscientisation car le changement est un engagement personnel non conditionné.
Les violences domestiques de part notre expérience et résultat de nos actions sur le terrain, elles sont résolues par la prise de conscience. Exemple, un jeune garçon qui bat chaque fois sa sœur en famille. Certains membres de la famille trouvent normal cet acte. Mais, lorsque ce garçon saura que taper sa sœur ne résoudras rien ni la changera pas, ils vont donner chance au dialogue en famille afin d’éviter cet acte qui nui à la santé physique, mentale de la jeune fille.
Voici ces femmes journalistes basées à Goma, Est de la République Démocratique du Congo qui de part leur savoir faire, elles jouent un rôle non négligeable à la recherche de la paix dans cette partie de ce pays troublée de plusieurs conflits, Un rôle d'informer à travers unmagzine radio de 30 minutes. Elles sont entrain de préparer une émission qu’on appelle « Face à la justice » qui touche l’aspect démocratie, paix et justice tel que vécu par les congolais de ce coin. Ni t’était leur formation, comment est-ce qu’elles pourront participer à la reconstruction de ce pays ? Ou, disons carrément si elles sont violentées dans leur sphère de travail comment peuvent-elles se concentrer à la production de cette émission diffusée sur sept chaînes de radios au Nord et au Sud Kivu.
 
 
 

Mettre fin aux violences que subissent les mamans et jeunes filles congolaises, n’attend que votre engagement.

mardi 21 mai 2013

Génies en herbe de lutte contre les violences faites à la jeune fille en milieu scolaire

L’Alliance du Nord Kivu à travers  FPJAD (Fondation Point de vue Jeunes Africains pour le Développement) une organisation engagée comme Agent de changement au sein de la Campagne NOUS POUVONS anime des séances de génies en herbes en ville de Goma au profit des élèves du secondaire de 12 Instituts qui ont été sensibilisés  auparavant sur la lutte contre les violences à l’endroit des jeunes filles en famille et à l’école.
 
A la question de savoir pourquoi NOUS POUVONS organise ces séances de génies en herbes, le Responsable de FPJAD Etienne KAMBALE laisse entendre que ces jeunes retiennent bien les leçons apprises pour une compétition. "Et bien, nous voulons lutter avec eux contre les violences faites aux femmes car ils savent déjà ce qu’il faut faire en vue de mettre fin à ces mauvaises pratiques. Le changement est individuel et tout tourne autour de la conscience ..."

Cette activité de sensibilisation est soutenue par la Division de l’enseignement primaire, secondaire et professionnelle à travers son service TAM TAM scolaire qui s’occupe des activités culturelles dans les écoles. 
Mr Etienne KAMBALE facilitateur principal

Les écoles sélectionnées pour prendre part à cette activité de mobilisation des jeunes ont répondu aux critères de disponibilité, d’appuyer les actions de sensibilisation en vue de mettre fin aux violences que subissent les jeunes filles. Nous avons l’institut NDAHURA, MAMAN YETU, MIKENO NON CONVENTIONNEE, MIKENO CONVENTIONNEE ISLAMIQUE, JERICO, TUPENDANE, RUTOBOKO, TUUNGANE, VIRUNGA QUARTIER et  ZANNER, MAJENGO ainsi que MONT GOMA.
Aux premiers matchs, par exemple la rencontre de l’institut RUTOBOKO face à l’institut TUUNGANE, le score était de 90 à 60 en faveur des élèves de l’Institut RUTOBOKO. Les élèves de l’Institut VIRUNGA QUARTIER qui ont joué avec ceux de l’Institut ZANNER, dans ce duel, le score final était de 60 à 50, victoire emportée par l’Insitut VIRUNGA QUARTIER. 
 

Les élèves sont enthousiastes de cette activité. Disons aussi que NOUS POUVONS compte organiser la finale pour deux équipes mais la troisième sera aussi primée. Avec cesjeunes élèves, le message de conscientisation ne touchera pas seulement leurs collègues de classe mais aussi les membres de leurs familles.


La Fondation Point de vue des Jeunes Africains (FPJAD) à mobilisé ses membres agents de changement pour la préparation des jouers de ces compétitions par des rencontres d'explication et conscientisation afin de comprendre ce que vise la Campagne, pourquoi devenir agent de Changement dans sa sphère de vie et amener les autres à changer afin de rédorer le blason de la femme congolaise. Profitant de cette ocasion, les agents de changement présents sur le lieu où se déroule l'activité de génies en herbe, sensibilise le public.
Par Freddy BIKUMBI

mercredi 15 mai 2013

La JOIE PLAZZA, Hôtel modèle à Goma

Par Freddy Bikumbi
Parmi les organisations sensibilisées pour la cause de la femme au chef-lieu de la Province du Nord Kivu, figure cet hôtel dit "LA JOIE PLAZZA Hôtel". Le Responsable de cette entreprise en véritable Agent de Changement a accepté de faire part aux visiteurs de ce lieu magnifique pour le séjour à Goma de lire les slogans de la Campagne NOUS POUVONS dans différentes langues nationales de la République Démocratique du Congo.
Depuis que NOUS POUVONS est une réalité en République Démocratique du Congo, particulièrement à Goma, cet hôtel n'a jamais délaissé la Campagne.
Disons aussi, que la ville de Goma est reconnue comme entité touristique pas seulement à cause du Parc national des Virunga mais y ajouter tous ces édifices que les Hommes d'affaires à l'instars du propriétaire de la JOIE PLAZZA Hôtel sont construits à travers la ville.
A cet Hôtel, le paysage est attrayant avec une vue directement sur le lac kivu et la bonne fraicheur, la sécurité  toujours garantie, cuisine à votre demande.
Actuellement cet Hôtel est unique à son genre du fait de son positionnement géographique en ville, y ajouter son architecture; ça ne fait pas seulement sa propre réclame mais une beauté de Goma
 
 Une fois que vous arrivez dans cette ville, vous pouvez constater le caractère attrayant de cet hôtel. D'ailleurs, tous les slogans de la Campagne s'y trouvent et qui signifient la même chose selon votre langue nationale et internationale. Nous avons: Pamoja Tunaweza maliza ujeuri zote zifanyiwavyo wanawake, Together we can make end all violences against women, Tudimwa kujikija ditacishibua dionso benzela bantubakaji, Ensemble nous pouvons mettre fin à toutes formes de violences faites aux femmes, elongo tokoki...etc.
Vous pouvez aussi soutenir la Campagne de part votre bonne volonté. Une vie sans violence est une vie heureuse pour tout un chacun.
 
Cette jeune fille revient du Lac Kivu où elle est allé chercher de l'eau. A Goma, les filles font des dizaines de kilomètres à la recherche de cette denrée précieuse. Egalement, elles courent les risques de viol, ne pas avoir le temps d'étudier, sans oublier la fatigue.
Avec vous le changement est possible. "La femme est un autre moi-même, je ne dois pas la violenter" nous a dit Mr Jerry's KAJIBWAMI un homme Agent de changement.
 
 
 
 
 

La LOFEPACO soutient la campagne NOUS POUVONS au bord du Lac Kivu dans le MASISI


Les congolais des entités de Kirotshe, shasha, kabati, kimoka se sont retrouvés la semaine dernière à sake dans le groupement Kamuronza en territoire de MASISI au sud de Goma à une vingtaine de kilomètre de Goma pour partager les points de vue et expérience sur les violences faites aux femmes. L’organisation LOFEPACO (Ligue des organisations femmes paysannes du Congo)  a soutenu cette activité de conscientisation pour une lutte commune contre ces violences que subissent les femmes congolaises paysannes dans le Masisi axe dit « au bord du lac Kivu ».
Le premier Facilitateur des échanges Mr Jerr’s KAJIBWAMI a abordé l’aspect les participants à comprendre la grande différence qui  existe entre les violences à l’égard des jeunes filles et femmes congolaises dans leurs sphères de vie. Il a parlé de :
  • violences domestiques,
  • violences instituionnelles, et
  • violences extrêmes.
Pour Mr Jerry’s KAJIBWAMI, afin de changer son mauvais comportement, attitudes vis-à-vis de la femme, il faut comprendre que les violences domestiques renferment l’injure, l’humiliation, surcharge de la femme avec des travaux domestiques au quotidien, psychologique, privation de liberté, privation des ressources, etc. Tandis que les violences institutionnelles, certaines femmes subissent l’harcèlement sexuel au bureau du travail, pour avoir un poste il faut que la fille soit l’amante du chef, pour avoir des points à l’école que la fille soit violentée, et bien d’autres.
Il a ajouté qu’un agent de changement devra être exemplaire dans son milieu de vie. Il a attiré l’attention des participants sur les conséquences incalculables des violences extrêmes sur la personne de la femme. Tout d’abord, elles sont constituées des actes non tolérables et par la société et par la loi. On peut citer : blessures volontaires, tuerie ou assassinat de la femme, viol, mutilation des organes de reproduction, ….
Dans cette piramide, Mr Jerry’s KAJIBWAMI a laissé entendre que la pesanteur de nos cultures et coutumes persiste encore dans nos pratiques et considération de la femme, c’est pourquoi à-t-il souligné que la Campagne NOUS POUVONS vient en amont pour la prévention des actes violents à l’encontre de la femme dans la société congolaise au village.
Le deuxième intervenant Freddy BIKUMBI a porté à la connaissance des participants qu’ils sont des alliés forts de NOUS POUVONS pour mettre fin à ces violences faites aux jeunes filles et femmes congolaises en territoire de MASISI au Nord Kivu. « Tout ce que vous avez appris durant les échanges, partager les avec les autres aux quartiers, assurez une diffusion plus large du message de la Campagne afin de rallier aux autres agents de changement qui sont un peu partout au pays.» a déclaré Freddy BIKUMBI. Pour lui, le changement reste une décision personnelle vu sa conviction que violenter une femme ne doit pas être tolérable dans sa communauté. A son tour, il a brossé les actions déjà réalisée en province du Nord Kivu grâce à l’aide des Agents de changement mobilisés pour la cause de la femme. Il a cité que de milliers de personnes vivant au Nord Kivu sont en contact permanent du message qui vise l’harmonie sociale, la paix sociale à travers de séances de sensibilisation, de renforcement en capacités sur la lutte contre ces violences, des émissions diffusées sur des radios et télévisions partenaires à la Campagne.
Mr Jerry's KAJIBWAMI assisatant à la signature d'engagement
Parmi ces participants de cette activité de SAKE la cité de MASISI, la majorité s’est engagée comme Agents de changement pour soutenir les actions de mobilisation sociale dans ce territoire déjà touché par le message depuis 2009 au chef-lieu du territoire dit «  MASISI-CENTRE » où des séances d’information, d’orientation sur le message de la Campagne ont déjà été organisées animées par Christian WAKILONGO, PAPA SHABANI PEPE, et d’autres agent de changement qui ont accepté de faire plus de 80 kilomètre afin d’apporter aux congolais du centre de Masisi la bonne nouvelle pour une justice sociale.
Cette organisation qui milite pour la dignité des femmes paysannes du Nord Kivu, fait passer le message de la Campagne NOUS POUVONS comme sujet transversal lors de ses séances d'animation communautaire.
 

 

mardi 7 mai 2013

Journalistes informés du non violence

En ville de Butembo, à plus de 400 Km au nord de Goma chef-lieu de la province du Nord Kivu, une dizaine des journalistes congolais étaient en contact avec le message de lutte contre les violences à l’égard des femmes dans leur milieu de vie. Des journalistes formés sur le journalisme de paix.
L’occasion était offerte grâce à l'atelier de formation des professionnels des médias des Radios membres du Collectif des Radios et Télévisions Communautaires du Nord Kivu (CORACON en sigle) en date du 3 mai 2013 appuyé par Free Press Unlimited de Hollande (au Pays Bas).
Ces journalistes ont eu à échanger l’expérience sur le rôle des médias pour une paix sociale. Dans son exposé, Freddy BIKUMBI l'un des formateurs a appelé ces professionnels des médias d'observer les exigences d’un journalisme fiable, où ils doivent humaniser les violences car celles-ci se font par des hommes qui doivent prendre la bonne conscience de la lutte que de faire passer toujours dans leurs médias de stéréotype des violences, ou de présenter la femme toujours victime, car cette façon de faire ne contribuera pas à l’éradication des violences faites aux femmes ni à la paix sociale en communauté. Plutôt il leur a encouragé de conscientiser les hommes et les femmes qui sont leurs fidèles auditeurs à adopter des pratiques qui qui contribueront à l’épanouissement de la femme congolaise. Lors des petits groupes, on a assisté à des débats sur les messages qui sont sur les dépliants de la Campagne NOUS POUVONS.

Pour ces journalistes, les violences que subit la femme et la jeune fille congolaise font partie des conflits qui rongent la société dans cette partie du pays. Ils n’ont pas hésité de se prononcer.
Mme Mishandela VAGHENI journaliste à la Radio Moto BUTEMBO-BENI.
Pour elle, les journalistes ne doivent pas se limiter à voir la guerre comme seul conflit en société… Nous devons amener aussi les auditeurs à comprendre que les conflits se cachent dans nos habitudes en famille et que nous devons en parler pour que la paix règne entre les hommes habitant la même sphère de vie.

Pasteur MUSAKIRWA de la Radio RAO FM. Nous vivons dans un monde où le conflit existe aussi. Le journaliste qui accomplie bien sa tâche, il amène les acteurs dans un conflit à se parler face à face. Soit autour d’une table et trouvent la réponse. Nous allons sensibiliser nos auditeurs car nos radios couvrent une bonne partie de la province du Nord Kivu et nous sommes écoutés, dit-il. « La paix passe par nos relations en société. La question de la femme, actuellement personne ne peut accomplir quelque chose sans être accompagnée par la femme. Et nous journalistes la Campagne NOUS POUVONS met à notre disposition un message qui incarne des bonnes pratiques pour mieux vivre en société. Conclue-t-il.

Pasteur au milieu
Mr DECAPOL journaliste de la Radio MUUNGANO de BENI. "La femme doit être respectée comme nous homme. Sa considération en société ne doit pas être négociée, c’est un droit pour elle. Les mamans et jeunes filles congolaises auront une place de choix dans mes antennes pour faire passer le message de non violence, au profit de notre communauté."

Mr Decapol en avant plan élancé
Notons que ces professionnels des médias ont promis de produire des reportages, des débats radiophoniques sur la lutte contre les violences faites aux femmes dans leurs différents organes de presse installés au Nord Kivu dans des villes et villages des territoires de cette province.