mardi 15 juillet 2014

Le BAS CONGO sur la voie de Nous Pouvons…

Après les cinq premières provinces où la Campagne nous pouvons mettre fin aux violences faites aux femmes est opérationnelle en République Démocratique du Congo, l’élargissement continue. 
Le message de cette dynamique sociale ainsi que ses couleurs s’annoncent déjà au BAS CONGO 
une des provinces de l’Ouest de ce pays au centre de l’Afrique. Arrêt sur images :

voici les séances de partage des informations sur l’approche Nous Pouvons au profit des jeunes et vieux (étudiants, des élèves, des femmes des associations féminines) y compris les responsables de confessions religieuses. La ville portuaire Matadi, chef-lieu de cette province, qui est la porte d’entrée pour cette entité administrative. Engouement des invités à ces assises d’information sur la stratégie d’éradication des violences contre les femmes comme nous a révélé Alpha KINGO l’un des agents de changement qui se sont engagés les premiers dans ce mouvement social au BAS CONGO.
C’est au cours d’un moment fort que NOUS POUVONS est arrivée dans cette province ; lors des 16 jours d’activisme. L’objectif de la campagne a été résumé en ces termes aux participants : « Notre vision à nous agents de changement est de contribuer à la réduction de l’acceptation sociale des violences à l’égard des femmes ». A ces alliés de Nous Pouvons,  ce slogan leur a été appris: « le changement est possible et il commence avec  moi ». C’est pour signifier que la décision de bannir les violences domestiques, institutionnelles voire extrêmes à l’endroit des jeunes filles et femmes n’est rien d’autre que la prise de conscience individuelle et d’amener son proche à changer ses mauvais comportements et attitudes qui violentent la femme.
Actuellement nous comptons une centaine de personnes devenues des agents de changement d’abord à Matadi. D’ailleurs, elles ont compris l’importance du port des insignes de la campagne et de rester unis pour une action commune de sensibilisation sur la lutte contre les violences basées sur le genre.
Une première, nouvelle vision pour une paix sociale durable et un acquis pour la promotion de la justice genre n’est rien d’autre que la campagne nous pouvons mettre fin aux violences aux jeunes filles et mamans.
C’est en ces termes qu’on peut résumer l’impression des habitants de Matadi qui ont assisté à ces ateliers. En passant, nous saluons l’engagement dans la campagne de madame Pélagie MAKIEDIKA et de  madame Chantale MALAMBA comme l’a témoigné KINGO.
En vous apportant ces informations, disons que les professionnels de medias de Matadi et quelques artistes musiciens se sont joints à la campagne à l’instar de cet étudiant de l’ISC MATADI qui compte chanter pour le respect de la personne de la femme.
BAS CONGO, nous pouvons et cet étendard nous allons le hisser très haut identiquement au Maniema, Kinshasa sans oublier au Bandundu et mondialement où le réseautage des agents de changement se fait sentir.
Partout où les agents de changement s'y trouvent, l'identité de la campagne reste maintenue à la différence avec d'autres campagnes qui se limitent dans le temps car la nôtre sera léguée aux générations futures et pour un temps indéfini jusqu'à ce que cessent les violences aux femmes en République Démocratique du Congo et partout au monde.

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