Jerys Kajibwami a donné des exemples observables dans notre société. Il a dit: "notre conscience doit nous pousser à dire non à ces violences. Telles que : injurier sa sœur soit son épouse en public comme en privé, les coups et blessures, discrimination des filles à l’héritage, et bien d’autres formes qu’on vit dans nos milieux de travail. En ajoutant certains maris refuent à leurs épouses de travailler malgré leurs diplôme. L’harcèlement sexuel en milieu du travail, le fait d’être femme on n’a pas droit à accéder au poste de prise de décision, toujours les femmes sont secrétaires-caissières sont de violences institutionnelles et aussi le viol, l’assassinat d’une femme sont parmi les violences extrêmes. Emerveillé de ce message, deux béninois étaient dans la salle. Ils sont surpris qu’en République Démocratique du Congo la lutte contre les violences faites aux femmes est en cours. Vu leur engagement dans cette lutte, ils ont accepté de porter le t-shirt, le bracelet et insigne de NOUS POUVONS jusque dans leur pays.
Un de deux Béninois. |
Pour les acteurs budgétaires du Nord Kivu, il est temps que tout le monde agisse dans sa sphère de vie afin qu’une paix durable règne dans nos familles et en milieu du travail en respectant au vrai sens la personne de la femme comme l' un d’eux qui a témoigné que je cite « Dieu en créant la femme. Il lui a doté un caractère bon que l’homme n’en n’a pas. Voilà pourquoi, ce que l’homme ne tolère pas, la femme, elle supporte. En ajoutant, que là où nous politiciens nous échouons, la femme à ce rôle, elle nous donne un résultat. » Fin de citation. Le message est passé. Ce qui reste n’est que la conscience individuelle pour le changement de mauvais comportements vis-à-vis de la femme nous a déclaré Jerys Kajibwami au sortir de la séance.
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